renégocier votre prêt immobilier. avec le réseau des CTRC




Les taux sont faibles ! Mais attendez ! Réfléchissez bien avant de renégocier votre prêt immobilier. L’opération n’est pas toujours rentable !

Renégocier ou racheter son crédit, c’est obtenir une baisse du taux de son prêt immobilier. Cela permet de réduire ses mensualités sur une durée identique, ou de réduire la durée avec les mêmes mensualités.

Vous pouvez faire appel à votre banquier ou aller voir la concurrence (c’est ce que l’on appelle un "rachat de crédit"). Mais attention, dans les deux cas, vous paierez des frais !

Vous devrez régler des frais de dossier et une nouvelle assurance emprunteur. Attention, cette assurance emprunteur peut être plus couteuse.

Dans le cas d’un rachat de crédit vous devrez en plus, payer des indemnités de remboursement anticipé et des frais de garantie.

Pour que cette démarche soit intéressante, vous devez vous assurer de plusieurs choses :

  • premièrement : que la durée restante de remboursement soit conséquente. Pourquoi ? Le gain doit être supérieur aux frais engendrés. Il faut donc se trouver dans les premières années de remboursement. C’est en général à cette période que l’on rembourse le plus d’intérêts,
  • ensuite l'écart entre le taux d'origine et le taux actuel doit être d'au moins 1 point. Sachez que si vous désirez vendre votre bien rapidement, vous n’avez pas intérêt à faire racheter votre crédit.
Pour renégocier avec votre banque, montrez que vous êtes bon payeur. Mettez l’accent sur ce que vous apportez à l’établissement et soignez la préparation de votre dossier. Les critères sont les mêmes que lorsque vous avez souscrit votre emprunt.

Sachez enfin que vous pouvez faire appel à un courtier pour vous aider.
               
En résumé :

  • pensez au frais supplémentaires,
  • renégociez dans les premières années de remboursement,
  • faites jouer la concurrence.

Vidéo réalisée avec la participation de Familles Rurales 59 du Centre Technique Régional de la Consommation Hauts de France.
Vidéos

HOMMAGE AUX MORTS DE TREBES

IMPOTS le prélèvement à la source

perturbateurs endocriniens avec le réseau des CTRC








Les bonnes habitudes à prendre dans le domaine de l’alimentation pour limiter notre exposition.

Les perturbateurs endocriniens sont des substances chimiques qui empêchent le bon fonctionnement du système hormonal et peuvent favoriser certaines pathologies. Ils peuvent avoir des effets nocifs sur des fonctions aussi essentielles que la reproduction, la croissance, le développement ou encore le métabolisme. Ces dangers concernent les personnes directement exposées mais également leur descendance.

C’est pourquoi, si ces derniers sont encore mal connus, la vigilance est de rigueur notamment pour les femmes enceintes et les enfants.

Sachant que certains perturbateurs endocriniens peuvent être contenus dans des produits de consommations courantes, dans des produits cosmétiques ou encore des médicaments, mieux vaut les éviter.

L’alimentation est la source d’exposition principale aux phtalates et au bisphénol A. Des règles simples peuvent considérablement diminuer le risque d'impact potentiel sur la santé.

Par exemple, mieux vaut éviter les récipients en polycarbonate. Ils sont désormais interdits à la vente mais si vous en avez chez vous, ne les utilisez pas et préférez ceux en verre. Pour les reconnaître, regardez si ils portent le sigle PC ou le chiffre 7 à l’intérieur d’un triangle. Si c’est le cas, ne vous en servez pas !

De la même manière, ne faîtes jamais chauffer vos aliments dans du plastique et préférez faire bouillir de l’eau dans une bouilloire en inox. Evitez également les conserves, les canettes et la vaisselle en plastique. Les emballages en carton ou en papier des aliments fast-food type pizza, burger, etc peuvent aussi être contaminés par les perturbateurs endocriniens. Donc, mieux vaut les éviter.

Préférez les aliments "bio" car de fait, ils contiennent moins de pesticides, potentiellement perturbateurs endocriniens.


Consomag


Pour éradiquer les punaises de lit avec le réseau des CTRC




Fini les piqûres nocturnes ! Retrouvez le sommeil ! L’Instant Conso vous explique comment vous débarrasser de votre pire cauchemar, les punaises de lit.


Les punaises de lit sont de petits insectes de la taille d’un pépin. Elles sont brunes et plates. Elles s’invitent dans votre valise après un voyage ou l’achat de meubles et vêtements d’occasion. Elles se cachent généralement dans la literie mais peuvent aussi se glisser derrière les plinthes, le papier peint décollé ou les meubles. Comme les moustiques, les punaises de lit se nourrissent de sang. Elle provoquent sur la peau des lésions rouges et donc parfois des réactions allergiques.


Pour savoir si votre logement est infesté, vous devez être attentifs à l’apparition de ces piqûres. Les punaises laissent également des traces noires sur les draps, le matelas, le sommier et les murs de la pièce. Ce sont les déjections des punaises. 

Pour éradiquer les punaises de lit :

  • commencez par ramassez vos vêtements et votre linge de maison. Nettoyez-les à la machine à 60° C ou placez-les au congélateur à - 20° C pendant 72 heures minimum. Les punaises sont très sensibles aux températures,
  • passez ensuite l’aspirateur dans chaque recoin de la pièce et démontez si possible vos meubles pour déloger les punaises (pensez à bien nettoyer le conduit de l’aspirateur et à jeter le sac),
  • bouchez les fentes et les fissures sur les murs, derrière les plinthes et sur les cadres de lit en bois,
  • recollez le papier peint qui se décolle.
Vous pouvez ensuite faire appel à un professionnel pour effectuer une désinfestation. 3 interventions seront nécessaires à 10 jours d’intervalle. Cela permet d'éliminer les insectes qui auraient pu naitre entre deux interventions car le traitement ne détruit pas les oeufs.


En résumé :

  • ramassez et lavez tout votre linge à 60° C,
  • passez l’aspirateur et nettoyez bien le conduit,
  • faites appel à un professionnel.

Vidéo réalisée avec la participation de la UD-CSF 87 de l'Union des Centres Techniques

tout sur la provenance de l'eau du robinet. avec le réseau des CTRC




Origine, traitement, on vous explique tout sur la provenance de l'eau du robinet.

En France, l’eau du robinet provient à 60 % des eaux souterraines. Le reste provient des eaux de surfaces. En Alsace par exemple, 98 % des eaux du robinet provient des nappes phréatiques, c'est-à-dire des eaux souterraines. Elle est naturellement consommable.

Dans tous les cas l’eau est traitée pour rester potable pendant sa distribution. Sa qualité est ensuite contrôlée tout au long de son trajet. Elle doit satisfaire une soixantaine de critères vérifiés par l’Agence Régional de Santé. Si l’eau répond aux critères, le préfet peut autoriser sa distribution.

Les résultats des analyses sont ensuite rendus publics. Pour vous renseigner sur la qualité de l’eau dans votre commune, adressez vous à votre mairie.

Vous l’aurez compris, vous pouvez boire l’eau du robinet les yeux fermés. Sachez aussi qu’elle est 300 fois moins chère que l’eau en bouteille et par ailleurs, a bien moins d’impact sur l’environnement.

Enfin, pour protéger les réserves d’eau, adoptez quelques gestes simples et suivez les conseils suivants pour économiser l’eau :

  • préférez par exemple la douche au bain,
  • vérifiez vos équipements : robinets et chasses-d ‘eau. Ils peuvent surconsommer en cas fuites jusqu’à 200 litres par jour,
  • ne rejetez pas n’importe quoi dans vos éviers, dans vos canalisations,
  • préférez les éco-labels pour les produits d’entretien.

En résumé :

  • la qualité de l’eau du robinet est très contrôlée,
  • elle coûte 300 fois moins cher que l’eau en bouteille,
  • ne jetez pas n’importe quoi dans vos canalisations.

Vidéo réalisée avec la participation de la CSF 67 de l'Union pour la Consommation Grand Est.

Vidéos

le retour du djihad, article de l'Est républicain

paiement sans contact, vidéo du réseau des CTRC







Avec le sans contact, plus besoin de composer votre code de carte de crédit pour régler un achat. Alors comment ça marche, quelles précautions prendre ?


Payer sans contact, c’est poser sa carte bancaire sur le terminal de paiement sans insérer sa carte, ni composer son code. Cela permet un encaissement plus rapide.

Si vous voulez payer sans contact, Il vous suffit de vérifier la présence du logo sur votre carte bancaire et à l’entrée du magasin.

Le paiement sans contact est destiné aux petits achats du quotidien. Vous ne pourrez donc pas payer plus de 20 euros à chaque fois. C’est un plafond de sécurité, qui passe pour les cartes nouvellement émises depuis octobre 2017, à 30 euros.

Le nombre de paiements successifs est également limité. Il est déterminé par votre banque. Au delà de ce nombre, vous devrez insérer votre carte et taper votre code secret. Cette option peut être désactivée, mais attention au vol !

Vous pouvez également payer sans contact avec votre téléphone portable. Grâce au NFC (communication en champ proche) ou au QR code, vous pouvez payer directement le commerçant avec votre smartphone.

Pour utiliser ces technologies, vous devrez installer sur votre smartphone une application comme Google wallet, Paypal, ou encore Paylib…

Sachez enfin que lorsque vous payez sans contact via votre smartphone, les données de votre carte bancaire sont protégées : elles ne sont ni stockées sur votre téléphone, ni partagées lors du paiement.

En résumé :

  • les paiements par carte ou téléphone sont plafonnées à 30 euros,
  • le nombre de paiment est limité,
  • contrôlez vos relevés de compte pour contester en cas de problème.

Vidéo réalisée avec la participation du Centre Technique Régional de la Consommation Normandie.