Les associations s'opposent au tri des personnes sans-abri

Les associations s'opposent au tri des personnes sans-abri

Ce vendredi, une vingtaine d'associations nationales d’hébergement et de lutte contre les exclusions ont collectivement quitté une réunion avec le ministre de l’Intérieur et le ministre de la Cohésion des territoires. Le point de discorde : la présentation d’un projet de circulaire autorisant les autorités à vérifier la situation administrative des personnes accueillies dans les centres d’hébergement. Une attaque sans précédent contre le principe de l’accueil inconditionnel.

Twitter Bird.svgMédecins du Monde : Les assos claquent la porte ! @gerardcollomb a "convoqué" ce matin les associations pour présenter son projet de circulaire qui revient sur l’accueil inconditionnel des plus précaires pour mieux les "éloigner"
Cette circulaire répond à la volonté de l’État d’identifier, dans les centres d’hébergement, les personnes étrangères dont le statut administratif est précaire, notamment les personnes sous statut Dublin ou déboutées du droit d’asile. Des équipes mobiles, constituées d’agents de l’OFII et des préfectures, feront des visites de contrôle dans les centres d’hébergement. Une décision contraire au principe d’inconditionnalité de l’accueil et aux droits fondamentaux des personnes.
Suite à cette réunion, les associations ont publié un communiqué de presse commun dans lequel elles ont réaffirmé les principes et priorités de leur action vis-à-vis des étrangers :
•    L’accueil inconditionnel de toute personne en situation de détresse présente sur le territoire est un principe socle du Code de l’action sociale et des familles : il s’oppose au tri des sans-abri en fonction de leur situation administrative. Ce principe qui constitue l’ADN des associations de lutte contre l’exclusion n’est pas négociable. C’est également un marqueur fort des valeurs de solidarité et républicaines de notre pays.
•    Les services de police ne peuvent intervenir dans les centres d’hébergement en dehors de l’application d’une décision de justice.
•    La CNIL encadre strictement la transmission d’informations individuelles : les associations veilleront scrupuleusement au respect de ce cadre légal.
•    Le renforcement des mesures de contrôle des personnes dans les lieux d’hébergement va précariser les personnes, dont des familles avec enfants, les éloigner des structures d’accueil en favorisant ainsi la reconstitution de squats et campements indignes, particulièrement dans les grandes villes.
Twitter Bird.svgL’accueil de toute personne, homme, femme, enfant, est inconditionnel en situation d’urgence. C’est une question humanitaire. #Hébergement #SansAbri #Migrants
Quelques heures plus tard, le ministère de l’Intérieur publiait son communiqué, annonçant la mise en œuvre effective de la circulaire dans les jours à venir.
Le 14 novembre dernier, les associations avaient pourtant envoyé une lettre ouverte au Président de la République dans laquelle elles exprimaient leurs vives inquiétudes face à l'évolution de l'accueil des étrangers en France et au rôle attribué aux associations dans l’orientation des publics.
Si les associations n’ont pas pu empêcher la publication de la circulaire, elles devraient être reçues prochainement par le Président de la République, comme l’a précisé le ministre de l’Intérieur lors de la fin prématurée de la réunion vendredi.

PAUVRETE DES ENFANTS



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MOINS DE DECHETS, RESPONSABILITE, AVEC LE RESEAU DES CTRC




38 millions de tonnes ! C’est la quantité de déchets produite par les Français en un an ! Une quantité difficile à gérer, il est donc important de jeter moins !


Aujourd’hui, on sait que l’enfouissement, l’incinération et le tri en usines d’ordures mélangées génèrent d’importantes pollutions. Ce ne sont donc plus des solutions acceptables.

Une bonne diminution des déchets commence donc par une diminution du volume de nos poubelles.

Le tri est le premier pas vers la réduction des déchets. Mais il est aussi important d’apprendre à consommer autrement :

  • au supermarché, soyez conscients des pièges à la consommation qui vous guettent "à chaque coin de rayon",
     
  • gardez votre esprit critique face à la publicité et à toutes ses incitations à consommer toujours plus,
     
  • évitez de vous laisser séduire par la nouveauté et les prix bas, ils cachent souvent des produits de mauvaise qualité,
     
  • faites plutôt le choix de la durabilité, c’est bien plus économique,
     
  • avant d’acheter un produit, posez-vous la question : est-ce un besoin ou une envie ?
     
  • et n’hésitez pas à fuir les supermarchés.
Aujourd’hui, de nouveaux lieux de commerce voient le jour : "recycleries", "ressourceries" et autres magasins d’occasion vous proposent, à la manière d’Emmaüs, des produits de seconde main encore en très bon état et prêts à resservir !

Enfin, pour parfaire votre reconversion en consommateur responsable, équipez-vous de sacs de toute taille pour y ranger vos courses. Privilégiez le tissu, pratique, lavable et donc réutilisable à souhait.

Vous l’avez compris, limiter ses déchets, c’est  protéger l’environnement et donc préserver la santé de tous.

En résumé :

  • réfléchissez avant d’acheter,
  • pensez aux produits de seconde main,
  • utilisez des sacs en tissu pour faire vos courses.
Vidéo réalisée avec la participation de l'ADEIC Haute Corseet du Centre Technique Régional de la Consommation Corse.
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PENSEZ AU RECOURS DIRECT EN CAS D'ACCIDENT AUTOMOBILE, AVEC LE RESEAU DES CTRC





Aïe, encore un accrochage ! Et cette fois, vous n’êtes pas responsable ! Pensez au recours direct.


Qu'est-ce que le recours direct ?
Un recours direct, c’est demander une indemnisation à l’assureur de la partie responsable, sans avertir votre assureur.

Les compagnies d’assurance écartent cette procédure, mais vous avez parfaitement le droit d’opter pour le recours direct. Attention cependant à respecter certaines conditions :

  • que le tiers soit identifié,
  • que le constat amiable soit rempli en indiquant correctement que vous n’êtes pas responsables.
Le recours direct est une procédure simple qui offre de nombreux avantages :

  • l'assuré n'est pas obligé de déclarer son accident à son propre assureur (il ne sera donc pas enregistré). Il faut savoir qu’en cas d’accidents, même non responsable, c’est votre compagnie d’assurance qui va régler la totalité de votre facture. Ainsi, si vous cumulez plusieurs accidents non responsable, cela peut énerver votre assureur et le pousser à résilier votre contrat,
     
  • vous serez également indemnisé plus justement. En cas de recours direct, pas de plafond de montant de réparation. Une vieille voiture en parfait état pourra être réparée alors qu’un assureur peu scrupuleux l'aurait envoyé à la casse en vous donnant une faible indemnisation. Mais attention, aucun expert ne validera 20 000 € de frais de réparation sur un véhicule de 2 000 euros.
Pour faire un recours direct, il suffit d’aller voir un réparateur qui contactera un expert dans les 5 jours. L’expert s'occupera de lancer la procédure. Enfin, sachez que le recours direct est aussi rapide qu’un recours classique.

En résumé :
  • vous pouvez ne pas avertir votre assureur,
  • pensez au constat amiable,
  • contactez un réparateur.

Vidéo réalisée avec la participation de Familles de France 13 et du Centre Technique Régional de la Consommation Provence-Alpes-Côte d'Azur.
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Partons à la recherche des comptes inactifs, vous savez, ces comptes bancaires oubliés ! L’instant Conso vous explique comment les retrouver.


Ces comptes bancaires sont comme leur nom l’indique : inactifs. Il peut s’agir de comptes de parents décédés, d’expatriés, ou d’un plan d'épargne salariale souscrit chez un ancien employeur.

La loi oblige les banques et assurances à recenser chaque année les comptes inactifs. Elles doivent ensuite en informer leurs titulaires. Si ceux-ci ne se manifestent pas au bout de 10 ans, les fonds sont alors transférés à la Caisse des Dépôts. Ce délai est de 20 ans pour les plans d’épargne logement.

Si le titulaire du compte inactif est décédé, le délai avant transfert est ramené à 3 ans.

Les comptes courants sont considérés inactifs après 12 mois consécutifs sans mouvement et sans nouvelle de leur titulaire. Ce délai est de 5 ans pour les comptes sur livret, comptes titre et comptes d’épargne salariale.

Concernant les assurances vie, que l’assuré soit vivant ou décédé, si un contrat n’est pas réclamé depuis plus de 10 ans, les fonds sont transférés à la Caisse des Dépôts.

Mais pas de panique ! Les avoirs transférés ne sont pas perdus pour autant ! Grâce au site ciclade.fr, les particuliers peuvent rechercher les sommes transférées et les réclamer à la Caisse des Dépôts.

Pour cela rien de plus simple : il suffit d'indiquer le nom et la date de naissance de la personne concernée pour savoir si elle a des sommes déposées à son nom. Au moment de la restitution, la Caisse des dépôts vous réclamera simplement un acte de notoriété, comme par exemple, un extrait d’acte de naissance.

En résumé :

  • si un compte est inactif, votre banque doit vous avertir !
  • recherchez-le sur Ciclade.fr,
  • au-delà de 10 ans, réclamez votre solde à la Caisse des dépôts !

Vidéo réalisée avec la participation de l'Asseco CFDT 89 et du Centre Technique Régional de la Consommation Bourgogne.
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LOCATION, QUI FAIT QUOI, AVEC LE RESEAU DES CTRC





Locataires, à vos marteaux, à vos pinceaux ! Aujourd’hui, L’instant conso vous explique quels travaux d’entretien et de réparation sont à votre charge !


Pour le locataire
L’entretien d’un logement et les petites réparations sont à la charge du locataire. C’est très important car lorsqu’il sortira du logement, il faut que l’état des lieux soit conforme à celui de l’entrée. Il s’agit, par exemple, de l’entretien des sols ou de l’entretien des joints.

En tant que locataire, vous êtes également responsable de l’entretien des murs et des plafonds. Les petits raccords de peinture, le rebouchage des trous dans le mur, c’est pour vous !

Sachez que vous devez également entretenir la plomberie (exemple, les canalisations d’eau) et les circuits électriques (exemple, les fusibles ou les prises de courant).

Cela vaut aussi pour les extérieurs privatifs !

N’oubliez pas le désherbage des allées, la réparation des stores, ou encore la taille des arbres.

Pour le propriétaire
En revanche, le propriétaire est responsable de certaines réparations. En cas de malfaçon ou de vice de construction, de cas fortuit comme un incendie, ou encore dans un cas de force majeure, comme une tempête.

Enfin bien sûr, le propriétaire a la charge des réparations dues à l’usure du logement. On appelle cela la vétusté.


En résumé locataire :

  • soignez vos sols, vos murs ou encore votre plomberie,
  • entretenez votre jardin privatif,
  • laissez la réparation des équipements usés par le temps à votre propriétaire.
Vidéo réalisée avec la participation de la CGL 13 et du Centre Technique Régional de la Consommation Provence-Alpes-Côte d'Azur.
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comment fonctionne un garage solidaire , avec le CTRC



 Prêts à mettre les mains dans le camboui ? Aujourd’hui, l’instant conso vous fait découvrir les garages associatifs !


Qu'est-ce-que c'est ?
Les garages associatifs, aussi appelés "garages solidaires", vous permettent de réparer votre véhicule à moindre coût. Ils sont ouverts à toutes personnes à faibles revenus. Certains garages fonctionnent comme des self-garages ! C’est-à-dire, des garages en libre service.

Comment cela fonctionne-t-il ?
Vous effectuez vous-même de petites réparations, accompagné par un professionnel. Vous pouvez louer des ponts et du matériel, acheter des pièces détachées ou encore des produits pour l'entretien. Cela vous reviendra moins cher qu’une réparation classique : une vidange vous coûtera par exemple une vingtaine d’euros.

Dans ces garages, vous pourrez effectuer un certain nombre de réparations vous-même, comme par exemple, la révision du véhicule : vidange, filtres à air, balais d'essuie glace ou le changement de plaquettes de freins par exemple. Pour cela, il faudra simplement vous acquitter d’une adhésion.

Vous trouverez aussi des garages solidaires où les réparations seront effectuées par des professionnels, pour environ 40 % du prix classique.

Ces garages sont ouverts aux personnes à faibles revenus. Un exemple, les personnes bénéficiaires du RSA ou encore aux foyers dont le coefficient familial est inférieur à 750 euros.

Vous aurez  simplement à présenter une attestation de la CAF. Vous trouverez ces garages en Bourgogne, à Grenoble ou encore Angers.


En résumé :

  • acquittez-vous d’une adhésion ou présentez une attestation,
  • faites vous-même votre vidange ou laissez faire,
  • récupérez votre carrosse !

Vidéo réalisée avec la participation de Familles Rurales 21 et du Centre Technique Régional de la Consommation Bourgogne.
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Stop à la catastrophe sanitaire en cours. Exigeons l'accès aux soins pour toutes et tous, Partout sur nos territoires !





 
Stop à la catastrophe sanitaire en cours.
Exigeons l'accès aux soins pour toutes et tous,
Partout sur nos territoires !

Pétition à faire signer et à faire circuler sur tous vos réseaux. Merci !
Voici le lien pour la signer.
Vous avez en fichier joint l'argumentaire principal.
    Comité de Vigilance pour le maintien des services publics de proximité en Haute Saône


CV-Logo
              modifié et validé au 12 Décembre 2014

La CNAF a 50 ans

Bonnes affaires de fin d’année ! avec le CTRC

Bonnes affaires de fin d’année !
Comme tous les ans, nous mettons les consommateurs en garde en cette fin d’année. Si vous avez des projets de travaux, de rénovation, de pose de chaudière, de panneaux solaires, réfléchissez bien avant de vous engager. En effet, il vous sera souvent invoqué l’urgence de signer le bon de commande pour profiter d’aide de l’Etat, de crédit d’impôts, d’un prix de rachat de l’électricité avantageux, qui vont changer en 2018 ou disparaître !
Dans tous les cas il faut garder la tête froide, s’informer, comparer les prix et les prestations,  et ne rien signer à la légère.
Vous l’avez compris, si vous signez sans réfléchir suffisamment,  ces «  bonnes affaires » de fin d’année pourront vous amener à passer une très mauvaise année 2018-et peut-être au -delà !
 

Prévention et lutte contre la pauvreté des enfants et des jeunes

Prévention et lutte contre la pauvreté des enfants et des jeunes

L’UNCCAS co-présidera l’un des groupes de travail

Prévention et lutte contre la pauvreté des enfants et des jeunes

Dans le cadre de la concertation annoncée en octobre pour définir une stratégie de prévention et de lutte contre la pauvreté des enfants et des jeunes, Agnès Buzyn et Olivier Noblecourt ont confié à Joëlle Martinaux, présidente de l’UNCCAS, la co-présidence d’un groupe de travail visant à piloter la lutte contre la pauvreté à partir des territoires.




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Pneus hiver en Europe

Pneus hiver en Europe


Les pneus hiver sont-ils obligatoires partout en Europe ? Pneus neige, cloutés, chainés : comment s'y retrouver ? Tour d'horizon des règlementations.

Mise à jour : nov. 2017

Les pneux hivers sont-ils obligatoires dans tous les pays européens ? 

En période hivernale, difficile de savoir si l’équipement en pneus neige des voitures est obligatoire dans le(s) pays européen(s) que vous allez traverser pendant vos vacances ou que vous traversez chaque jour si vous habitez en région frontalière.
Pour vous aider, les 30 Centres Européens des Consommateurs ont répondu aux questions suivantes dans notre étude :
  • Les pneus hiver sont-ils obligatoires ou non dans votre pays ?
  • Sinon, y a-t-il des zones spécifiques (ou panneau de signalisation sur la route) où les pneus hiver sont exigés (ex : certaines routes dans les montagnes/cols en Autriche) ?
  • Les pneus cloutés sont-ils autorisés ?


Prélude à la journée internationale des migrants RASSEMBLEMENT à Champagney

Chers amis,

Les dernières nouvelles sont alarmantes. Quelques exemples :

- les députés viennent de voter une loi qui permet de placer en rétention les personnes dublinées ;
- les chefs d'Etat européens sont en train de préparer en toute discrétion à Bruxelles un règlement qui constitue un reniement fondamental au regard du droit d'asile tel qu'il est conçu depuis la Convention de Genève en 1951 (voir "Le diabolique projet de l'Europe pour les demandeurs d'asile", Médiapart.fr) ;
- en Haute-Saône, la Préfecture durcit sa position et ne semble pas encore prête à entendre nos revendications et poursuit ses assignations à résidence...

Nous devons poursuivre les actions ! Rejoignez-nous !

Le 16 décembre 2017, à 15 h
Prélude à la journée internationale des migrants
RASSEMBLEMENT à Champagney
  Devant la Maison de la Négritude et des Droits de l’Homme

   Parce que l’application du règlement européen Dublin III permet des renvois massifs : toutes les personnes exilées passées par un autre pays européen avant d’arriver en France sont susceptibles d’y être renvoyées de force, alors que la plupart y ont été enfermées et/ou victimes de violences policières. Ces pays renvoient alors vers les pays d’origine, c’est le cas par exemple de  l’Italie. La France sous-traite ainsi le sale boulot.

    Or, la France n’est PAS OBLIGÉE d’appliquer le règlement Dublin !

  Parce que la politique du gouvernement français ne se traduit que par "éloignemement",  "transfert" et "rejet" et qu'il prépare une nouvelle loi durcissant encore sa politique migratoire dans un sens liberticide, s'autorisant à placer en centre de rétention des exilés qui demandent le respect du droit fondamental de demander l'asile dans le pays de leur choix.

  Pour dire « ça suffit ! », pour mettre fin à l’acharnement contre les migrants et aux discours et politiques racistes et sécuritaires qui gangrènent toute notre société.

  Pour dénoncer l'esclavage en Libye, suscité par les accords conclus avec le gouvernement de ce pays, pour retenir, enfermer les migrants et les livrer aux milices maffieuses.

Ensemble, élevons-nous contre cette « chasse aux migrants » !

Rejoignez-nous  le 16 décembre 2017 à 15h.

POUR EXIGER :
 - la sortie immédiate des accords de Dublin, la liberté de demander l’asile dans le pays de son choix ;

- l’arrêt immédiat des expulsions et déportations ;

- l’abandon du nouveau projet de loi sur l’immigration du gouvernement  Macron ;

- la régularisation des sans-papiers, la liberté de circulation et d’installation

       (article 13 de la Déclaration  universelle des droits  humains) ;

- la mise à l’abri décente, la protection et la scolarisation de tous les mineurs en famille ou sans famille.


 Venez nombreux ! Nous avons besoin de votre soutien !!

Et n'oubliez pas la pétition, continuez à la faire tourner : http://chn.ge/2AFyoXO


Amicalement, pour le CADM70,

Cyril MORLOT

Président du Collectif d'Aide et de Défense des Migrants de Haute-Saône.

CADM-70 : 8, rue des Géraniums 70000 VESOUL

Comment choisir votre fournisseur d'éléectricité, une vidéo de l'INC





Le prix de l’abonnement dépend de la puissance électrique de votre contrat et de l’option tarifaire choisie.


Votre choix va dépendre des caractéristiques de votre logement, de vos équipements électriques et de l’usage que vous en avez. Il s’agit d’abord de souscrire la bonne puissance. Attention : si elle n’est pas assez élevée, votre installation risque de disjoncter. Si elle est trop élevée, vous payez inutilement un abonnement plus cher.

Ce qui vous fait consommer le plus d’électricité, c’est :

  • le chauffage,
  • le ballon d’eau chaude,
  • certains appareils électroménagers comme le four et les plaques à induction.
Lorsque vous emménagez, il est important de bien renseigner votre fournisseur sur les caractéristiques de votre logement et de vos appareils. Le comparateur d’offres disponible sur le site energie-info.fr vous permettra également de faire une simulation en fonction de vos appareils.

Il existe deux principales options tarifaires en électricité :

  • l’option Base : le prix est exprimé en kWh et est identique tout au long de la journée,
  • l’option Heures pleines/heures creuses (il existe deux prix différents du kWh : un prix plus faible en heures creuses et un prix plus élevé pendant les heures pleines).
Pour connaître vos heures creuses, consultez votre facture. Mais attention pour que l’option tarifaire heures creuses/heures pleines soit financièrement intéressante, il faut consommer plus d’1/3 d’électricité en heures creuses, 30 % ! Si vous voulez une idée plus précise, utilisez la calculette "Base ou Heures pleines/Heures creuses" sur le site d’information Energie-info.fr.